Envie de me sentir libre… Je divague simplement, de pensées à pensées, c'est le début de la liberté. Commencer à ne plus maîtriser les idées qui nous traversent, les écouter toutes avec la même intensité, les mettant sur un pied d'égalité, les regarder passer, leur sourire gentiment, les exprimer sur une page, pourquoi pas, ou juste les évoquer sans pour autant les détailler. Tout d'abord, elles sont très nombreuses, elles se mélangent, on ne peut toutes véritablement les comprendre, mais à mesure que la liberté et l'acceptation de cette soudaine liberté s'installe, elles prennent un rythme plus lent, cessent de courir en tout sens, et marche lentement, prenant le temps de s'exprimer au mieux, de s'expliquer, de nous charmer... Les souvenirs prennent part à ce ballet d'idées, de pensées. Au lieu de quelques flashs intempestifs, ils se développent en véritables court-métrage. Nous partons alors encore plus profond dans nos pensées, donnant plus d’espaces à leurs libertés, plus d’attention à chacune d’elles jusqu’à ce qu’elles nous inonde et nous noient de toutes pars.
lomedy
Déblatérations insensiques
Samedi 24 avril 2010 à 0:11
Envie de me sentir libre… Je divague simplement, de pensées à pensées, c'est le début de la liberté. Commencer à ne plus maîtriser les idées qui nous traversent, les écouter toutes avec la même intensité, les mettant sur un pied d'égalité, les regarder passer, leur sourire gentiment, les exprimer sur une page, pourquoi pas, ou juste les évoquer sans pour autant les détailler. Tout d'abord, elles sont très nombreuses, elles se mélangent, on ne peut toutes véritablement les comprendre, mais à mesure que la liberté et l'acceptation de cette soudaine liberté s'installe, elles prennent un rythme plus lent, cessent de courir en tout sens, et marche lentement, prenant le temps de s'exprimer au mieux, de s'expliquer, de nous charmer... Les souvenirs prennent part à ce ballet d'idées, de pensées. Au lieu de quelques flashs intempestifs, ils se développent en véritables court-métrage. Nous partons alors encore plus profond dans nos pensées, donnant plus d’espaces à leurs libertés, plus d’attention à chacune d’elles jusqu’à ce qu’elles nous inonde et nous noient de toutes pars.
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